Thisis "ALAĂŹA et BALENCIAGA Sculpteurs de la forme" by FONDATION AZZEDINE ALAIA on Vimeo, the home for high quality videos and the people who love them.
Publiépar : Fondation Azzedine Alaïa. date de parution : septembre 2020. première édition publiée en 1500 copies numérotées 500 en français de 1 à 500 1000 en anglais de 501 à 1500. 23cm x 30cm isbn : 979 10 95313 07 6 120
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cash. Chaque fois qu’on murmure son nom, c’est comme des frissons qui retentissent en nous lorsque nous connaissons bien le parcours et le travail de ce grand monsieur de la mode. Parti de rien, l’ascension d’Azzedine Alaïa est si remarquable qu’elle inspire toujours beaucoup. Parti le 18 novembre 2017 à l’âge de 77 ans, l’homme perdure toujours à travers ses créations qui traversent le temps comme personne. Portrait d’une figure légendaire, qui a refusé l’accommodement pendant toute sa carrière au service de sa maison de couture et de sa vision de la mode. UN DESTIN HORS DU COMMUN Tout débute à Tunis, où l’homme grandit et où il se passionne très tôt pour l’univers de la mode. Il fait tout pour intégrer l’école des beaux arts de Tunis et une fois chose faite, il termine ses études et commence sa carrière de créateur en créant des robes inspirées de Balmain ou encore de Dior pour ses clientes, se constituant ainsi un réseau assez solide en Tunisie. C’est dans les années 50 que Alaïa quitte la Tunisie pour la France où de fil en aiguille, il intègre la maison Dior où il fait un passage éclair 5 jours puis bascule chez Thierry Mugler où il fera deux saisons puis Guy Laroche toujours durant deux saisons. Entre temps, il rajoute à son CV une liste de clientèle prestigieuse comme Louise de Vilmorin, Arletty ou encore Greta Garbo et installe son premier atelier rue de Bellechasse, à Paris. Azzedine Alaïa jeune Aidé de ses clientes de renom, il sera rapidement introduit dans le monde select des mondanités parisiennes ce qui ne fit que renforcer son carnet d’adresse très prisé. IL fut très rapidement encouragé par monsieur Mugler qui devint son ami pour lancer sa première collection et ce fut chose faite en 1979. En 1981, il crée sa marque éponyme et très rapidement, son travail est largement salué par la presse et le public puis ses créations connaissent peu à peu un succès incommensurable. Sa vision de la femme à travers ses créations est très rapidement remarquée et adulée. Sa signature Des robes, des tenues complètes qui sculptent et épousent le corps des dames aux matières qui les avantagent. LA FEMME ALAÏA, C’EST QUOI ? Sa dévotion pour les femmes est sincère et profonde et on le ressent dans sa vision de la mode. C’est probablement l’un des couturiers qui a compris très tôt que la féminité pouvait être mise en avant de manière fantasmée et artistique mais avec une vision bien à lui. C’est son passage aux beaux arts à Tunis qui a développé sa connaissance et son amour pour le corps. Le couturier déclinait souvent ses robes en trois longueurs pour permettre à un maximum de femmes de se sentir à l’aise avec la forme qu’elle souhaitait et c’est la raison pour laquelle ses modèles pouvaient aller jusqu’au 44. C’est ainsi que ses robes opéraient comme des formules magiques qui mettaient en valeur les courbes féminines là où il le fallait, tel un vrai magicien. SES MUSES, SES CONNIVENCES AVEC LES FEMMES Tina Turner, Grace Jones, Farida Khelfa, Stephanie Seymour, Madonna ou encore Naomi Campbell, tant de noms aussi illustres qu’évocateurs dans son cercles de muses / amies la liste est longue et sa complicité avec les femmes sans pareille. Azzedine Alaïa et Madonna Naomi le surnommait d’ailleurs “Papa”. Alaïa était adulé par toutes les supermodels des 80’s, qui estimaient que ses défilés étaient ceux qu’il ne fallait manquer sous aucun prétexte. Azzedine Alaïa et Farida Khelfa Un des événements marquants des années 80 est la sculpturale Grace Jones qui pose dans ses vêtements sous l’objectif du photographe Jean-Paul Goude. Il se lie particulièrement d’amitié avec l’ex mannequin et actrice Farida Khelfa. Révélée et introduite par le photographe Jean-Paul Goude, elle sera présentée entre autre à monsieur Alaïa où elle endossera tour à tour pour lui, les rôles de mannequin, d’égérie et, entre 1996 et 2003, et de directrice de studio UN COUTURIER LOIN DES STANDARDS En 1989, c’est lui qui commande à Alaïa la toge-drapeau portée par la cantatrice Jessye Norman pour le défilé du Bicentenaire de la Révolution française. Aux débuts des années 90, il marque les esprits en signant une collaboration avec l’enseigne Tati. L’histoire veut qu’en voyant une série de tableaux de Schnabel, peints à même la toile de bâche des stores Tati, le couturier eut l’idée d’utiliser le motif en le déclinaison sur une série de créations qui feront le défilé de l’été 1991. Cette collaboration marquera les esprits puisque c’est la premières que la monde de la couture rencontre l’univers de la grande distribution de près comme de loin. De près car certaines pièces sont commercialisés au sein même de l’enseigne et de loin pour la réappropriation du motif sur le podium du défilé 1991. “Les créations du défilé de l’été 1991 et des toiles de Julian Schnabel, aux couleurs de l’enseigne de Barbès, étaient à découvrir rue de la Verrerie, à Paris, jusqu’au 5 janvier 2020.” Toujours vêtu d’un costume Mao noir, Alaïa était connu pour être à contre courant du système. Sa vision de la mode, elle est familiale, festive autour du partage et il avait cette particularité de fuir les médias, la presse agissant en homme très discret. Fortement indépendant aussi, il aurait refusé de reprendre la maison Dior suite au départ de Galliano en 2011. 6 ans après avoir déserté les podiums ce qui représente une durée astronomique dans le monde de la monde, il réapparait en Juillet 2016 ce qui sera son dernier défilé. Après sa disparition en Novembre 2017, l’homme qui sculptait à la perfection le corps des femmes laisse une grande un grand vide dans le monde de la mode mais aussi dans le monde entier. EXPO À VOIR Alaïa et Balenciaga Quand deux monstres sacrés de la mode dialoguent entre eux à travers leurs créations… La galerie Azzedine Alaïa invite les passionnés d’histoire de la mode à découvrir une iconique exposition autour des créations de Cristobal Balenciaga et d’Azzedine Alaïa, intitulée Alaïa et Balenciaga, sculpteurs de forme. Une exposition où se font face 80 modèles imaginés par les deux créateurs, présentés sous une forme donc inédite. Exposition Alaïa et Balenciaga jusqu’au 28 Juin prochain L’exposition est en ce moment même et dure jusqu’au 28 juin. Elle a été inaugurée pendant la dernière semaine de la haute couture à Paris qui a notamment été marquée par les adieux de Jean Paul Gaultier, 67 ans, autre grand couturier qui depuis des années vivait mal la frénésie des collections. Azzedine Alaïa collectionneur – Alaïa et Balenciaga sculpteurs de la forme, jusqu’au 28 juin 2020 à l’Association Azzedine Alaïa, 18 rue de la Verrerie, 75004 Paris
Publié le lundi 3 février 2020 par Journal du Luxe Lancée au coeur de la Paris Fashion Week, l’exposition présente une sélection unique de modèles confectionnés par ces deux maîtres de la face à face entre Balenciaga et de Givenchy en rêvait voir réunies les œuvres d’Azzedine Alaïa et de Cristóbal Balenciaga dans un seul et même lieu. Sous la direction d’Olivier Saillard, une exposition croisée rassemblant les deux grands couturiers rassemble ces jours-ci plus de quatre-vingts modèles exclusifs issus des archives d’Azzedine créations Balenciaga présentées sont issues des collections privées du couturier franco-tunisien, disparu en 2017. Passionné par le travail de Balenciaga et admiratif de son talent, Alaïa a commencé à collectionner ses créations peu après la fin des activités de Haute Couture de la griffe, en 1968, au profit de l’expansion du prêt-à -porter. En dépit de la proposition de Mademoiselle Renée, ancienne directrice générale adjointe de Cristobal Balenciaga, d’en disposer comme bon lui semblait, il a préféré conserver ces pièces d’archives intactes et s’en inspirera tout au long de sa carrière. Ainsi, plusieurs de ses modèles dialoguent ici avec ceux du couturier mise en perspective plus d’actualité que jamais alors que Demna Gvasalia, Directeur artistique de Balenciaga, vient tout juste de confirmer la ré-ouverture du studio de Haute Couture de la Azzedine Alaïa collectionneur, Alaïa et Balenciaga sculpteurs de la forme – Du 20 janvier au 28 juin 2020 – Fondation Azzedine Alaïa, 18 rue de la Verrerie, Paris 4. À partir de juillet 2020, à la Fondation Balenciaga à Guetaria, en Espagne.
10h00 , le 30 septembre 2020 A Paris, Lyon et Bordeaux, les vĂŞtements de crĂ©ateurs sont magnifiĂ©s comme des Ĺ“uvres d'art. Le palais Galliera inaugure jeudi la première rĂ©trospective consacrĂ©e Ă Gabrielle Chanel en France. Un Ă©vĂ©nement. Un peu de lĂ©gèretĂ©, comme une parenthèse inespĂ©rĂ©e. Ou comment oublier son masque, ce bout de tissu sur le visage, grâce Ă d'autres Ă©toffes, jersey souple, tulle bleu nuit ou crĂŞpe de soie blanc ivoire. Remonter le temps d'un froissement de mousseline insouciante jusqu'au siècle dernier, quand Coco Chanel dessinait des robes Ă la ligne Ă©purĂ©e. L'exposition organisĂ©e par le palais Galliera - le musĂ©e de la Mode de la Ville de Paris qui rouvre après deux ans et demi de travaux et un agrandissement notable - retrace le travail de la cĂ©lèbre Mademoiselle de 1913 Ă sa dernière collection en 1971. Plus de 160 silhouettes sont rĂ©unies sur deux niveaux dans le palais rĂ©novĂ©. Par son ampleur inĂ©dite, le premier Ă©vĂ©nement musĂ©al jamais consacrĂ© Ă Chanel en France est très ouvrira jeudi, en pleine fashion week parisienne et alors mĂŞme qu'une demi-douzaine d'autres expositions traitent actuellement de la mode. Sur tous les tons. Le musĂ©e des Arts dĂ©coratifs MAD de Paris s'intĂ©resse par exemple au façonnage de la "fashion" par le magazine amĂ©ricain Harper's Bazaar, dont les unes font Ă©cho Ă 60 robes, de 1866 aux annĂ©es 2010. Le musĂ©e du Luxembourg vient quant Ă lui d'inaugurer "Man Ray et la mode". Cette facette commerciale de l'Ĺ“uvre du grand photographe est moins connue que ses crĂ©ations surrĂ©alistes, mais elles ont nourri notre imaginaire, telles Les Larmes, des gouttes de cristal sur un visage de femme illustrant une publicitĂ© pour du mascara. MĂŞme le Centre Pompidou, temple de l'art moderne et contemporain, va s'y mettre et compte intĂ©grer prochainement dans ses collections par acquisition ou don des pièces communication nobleL'entrĂ©e de la mode dans un musĂ©e classique est rĂ©cente. Première du genre pour un couturier en exercice, la rĂ©trospective Yves Saint Laurent au Metropolitan Museum of Art de New York attira 1 million de visiteurs en 1984 Ă l'initiative de la patronne du Vogue amĂ©ricain. En France, Ă la mĂŞme Ă©poque, "les crĂ©ateurs comme Jean Paul Gaultier ne voulaient pas entendre parler de musĂ©e, ils avaient l'impression que ça les figerait dans un mausolĂ©e alors qu'ils Ă©taient tournĂ©s vers l'avenir", rappelle Olivier Saillard, ancien directeur de Galliera, curateur de la confrontation "AlaĂŻa et Balenciaga" Ă la Fondation AlaĂŻa, dans le Marais. "Aujourd'hui, poursuit-il, le passage au musĂ©e ne leur fait plus peur.""En mode comme en art, une exposition repose d'abord sur le travail et l'exigence des historiens et des conservateurs"Pour les maisons de couture, le bĂ©nĂ©fice d'une exposition de plusieurs mois est tout trouvĂ©. Les cimaises d'un palais culturel offrent "une communication plus noble et moins liĂ©e Ă l'Ă©vĂ©nementiel d'un dĂ©filĂ© qui dure dix minutes, et le regard portĂ© sur une Ĺ“uvre est plus attentif", indique Olivier Saillard. CĂ´tĂ© musĂ©es, monter une exposition de mode permet de rĂ©duire les coĂ»ts de production. Les grandes marques sont souvent partenaires, prĂŞtent des modèles, financent une partie du show. La rĂ©trospective Chanel maison qui a aussi mĂ©cĂ©nĂ© les travaux Ă Galliera est cependant "majoritairement financĂ©e" par l'institution, prĂ©cise sa directrice, Miren Arzalluz, Ă©galement commissaire de l' soutien privĂ© a-t‑il une contreÂpartie, un contrĂ´le du propos qui ne doit pas nuire Ă la marque? "Il y a beaucoup de fantasmes, rĂ©agit Olivier Gabet, le directeur du MAD. Dans l'art contemporain aussi, les artistes participent Ă l'accrochage. Mais, en mode comme en art, une exposition repose d'abord sur le travail et l'exigence des historiens et des conservateurs.""Le grand public croit la connaĂ®tre car elle fait partie de la culture populaire, mais il fera des dĂ©couvertes"Si la vie de Gabrielle Chanel, notamment son attitude controversĂ©e pendant l'Occupation, est Ă peine Ă©voquĂ©e Ă Galliera, c'est parce que les commissaires disent avoir fait le choix de mettre son Ĺ“uvre en avant, ses choix stylistiques très forts. "Nous analysons son travail, explique Miren Arzalluz, nous montrons comment elle a intĂ©grĂ© la notion de confort dans des crĂ©ations Ă©lĂ©gantes, tout comme sa grande maĂ®trise des ornements. Le grand public croit la connaĂ®tre car elle fait partie de la culture populaire, mais il fera des dĂ©couvertes, par exemple toutes les crĂ©ations des annĂ©es 1930."Un public plus largeCes visiteurs venus admirer robes du soir et autres tenues inabordables dopent la frĂ©quentation des Ă©tablissements qui misent sur la mode. MalgrĂ© des jauges très limitĂ©es par la pandĂ©mie, "Playground", avec sa constellation de baskets de toutes les couleurs, a attirĂ© visiteurs en juillet-aoĂ»t au musĂ©e des Arts dĂ©coratifs et du Design MADD de Bordeaux. A Lyon, le focus du musĂ©e des Tissus sur la styliste punk Vivienne Westwood a dĂ©butĂ© le 10 septembre et a fait le plein le week-end dernier lors des JournĂ©es du patrimoine. "Christian Louboutin L'Exhibition[niste]" a dĂ©jĂ drainĂ© plus de visiteurs dans le sillage sensuel de ses semelles rouges au Palais de la Porte-ÂDorĂ©e Ă Paris depuis la rĂ©ouverture en juin. Il y a trois ans, la spectaculaire rĂ©trospective Dior au MAD de Paris avait explosĂ© les compteurs, avec plus de visiteurs."La mode permet de faire entrer d'autres publics dans les musĂ©es, notamment les jeunes""La mode permet de faire entrer d'autres publics dans les musĂ©es, notamment les jeunes, note Esclarmonde Monteil, directrice du musĂ©e des Tissus de Lyon. Pour Vivienne Westwood, nous comptons environ un tiers de moins de 26 ans. Tout le monde se projette dans des vĂŞtements, s'imagine dedans. Il y a une grande proximitĂ©."Escarpin gĂ©ant en cristal dans un palanquin d'argent sĂ©villan pour Louboutin ou parois noires et miroirs chics pour Chanel la scĂ©nographie joue aussi un rĂ´le important en rendant les Ĺ“uvres plus accessibles, sans prĂ©supposĂ© culturel. "Le visiteur ne se dit pas 'je ne connais pas', comme lorsqu'il se trouve par exemple face Ă une peinture classique qui fait rĂ©fĂ©rence Ă des sujets bibliques ou mythologiques", dĂ©crit Olivier Gabet, commissaire du show Louboutin. La mode au musĂ©e est aujourd'hui reconnue comme une expression artistique Ă part entière. Et, de plus en plus, selon Miren Arzalluz, "comme un phĂ©nomène social, politique, qui explique notre Ă©poque".Pour tous les goĂ»ts "Gabrielle Chanel - Manifeste de mode", palais Galliera Paris 16e, du 1er octobre au 14 mars 2021. "Vivienne Westwood - Art, mode et subversion", musĂ©e des Tissus de Lyon, jusqu'au 17 janvier 2021. "Man Ray et la mode", musĂ©e du Luxembourg Paris 6e, jusqu'au 17 janvier 2021. "Playground - Le design des sneakers", MADD de Bordeaux, jusqu'au 10 janvier 2021. "Harper's Bazaar - Premier magazine de mode", MAD de Paris, jusqu'au 3 janvier 2021. et Balenciaga - Sculpteurs de la forme", nouvel accrochage Ă la Fondation AlaĂŻa Paris 4e, jusqu'au 3 janvier 2021.
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